Optimisation des consommations des équipements de
2 participants
Page 1 sur 1
Optimisation des consommations des équipements de
Un certain nombre de systèmes de production de chaleur et de froid peut être mis en oeuvre dans des projets économes en énergie
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58 kWh d’énergie primaire Système de production de chaleur font face Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie chaudière gaz à condensation :Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température Pompe à chaleur Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP Le COP est ainsi défini de la manière suivante ; chaleur produite / électricité consommée Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur >extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur -l’air. COP : entre 2 et 3 -l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8 Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est plus stable.
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58 kWh d’énergie primaire Système de production de chaleur font face Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie chaudière gaz à condensation :Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température Pompe à chaleur Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP Le COP est ainsi défini de la manière suivante ; chaleur produite / électricité consommée Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur >extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur -l’air. COP : entre 2 et 3 -l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8 Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est plus stable.
Dernière édition par zahira bouguerra le Ven 16 Oct - 21:16, édité 2 fois
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Chaudière bois automatique :Les chaudières automatiques à bois permettent de produire de la chaleur à partir de granulés de
bois. Il est nécessaire de prévoir un lieu pour le stockage du bois. Le rendement de production des
chaudières les plus efficaces peut atteindre 85 %.
Chauffage solaire :
Une installation qui fonctionne correctement et qui est bien dimensionnée permet d’économiser
de l’ordre de 350 kWh/m².an
Avec des conditions favorables (climat de montagne froid et ensoleillé), ces valeurs peuvent être
sensiblement plus importantes.
Par contre, il est beaucoup plus difficile de donner un ratio moyen pour le taux d'économie
d'énergie, qui, compte tenu de la grande variabilité des projets et des climats, s'échelonne entre
10 et 50 %, voire plus dans certains cas très favorables.
De manière générale, il faut éviter de surdimensionner une installation solaire. La surface
maximale de capteurs solaires dépend des besoins de chaleur l’été. Dans la plupart des
installations, ce sont les besoins d’eau chaude sanitaire en été qui vont limiter la surface de
capteurs solaires. Si la surface de capteurs solaires permet de produire beaucoup plus de chaleur
que nécessaire en été, cela conduit à des surchauffes importantes dans les capteurs solaires. Ce
phénomène peut jusqu’à aller à la destruction physique de l’installation. C’est pourquoi, sur les
systèmes de chauffage solaire il est prévu une boucle de décharge pour refroidir l’installation.
Le chauffage solaire prend toute son importance dans les bâtiments très bien isolés. Sur des
bâtiments passifs, la production de chaleur à partir de capteurs solaires thermiques permet de
couvrir jusqu’à 30 % des besoins en limitant les surfaces de capteurs solaires aux besoins
maximum d’eau chaude sanitaire. Ceci évite donc les surchauffes d’été.Système de production de froid
Lorsqu’il est nécessaire de produire du froid, plusieurs types d’installations économes en énergie
peuvent être utilisés.
Refroidissement par puits canadien :
Le puits canadien, également appelé puits provençal, consiste à positionner des conduites
d’amenées d’air dans le sol. En été, l’air extérieur va se refroidir au contact des tuyaux.
L’air refroidi va ensuite être soufflé dans le bâtiment. L’abaissement de température de l’air soufflé
peut aller jusqu’à 5 voir 8°C dans les cas les plus favorables.
bois. Il est nécessaire de prévoir un lieu pour le stockage du bois. Le rendement de production des
chaudières les plus efficaces peut atteindre 85 %.
Chauffage solaire :
Une installation qui fonctionne correctement et qui est bien dimensionnée permet d’économiser
de l’ordre de 350 kWh/m².an
Avec des conditions favorables (climat de montagne froid et ensoleillé), ces valeurs peuvent être
sensiblement plus importantes.
Par contre, il est beaucoup plus difficile de donner un ratio moyen pour le taux d'économie
d'énergie, qui, compte tenu de la grande variabilité des projets et des climats, s'échelonne entre
10 et 50 %, voire plus dans certains cas très favorables.
De manière générale, il faut éviter de surdimensionner une installation solaire. La surface
maximale de capteurs solaires dépend des besoins de chaleur l’été. Dans la plupart des
installations, ce sont les besoins d’eau chaude sanitaire en été qui vont limiter la surface de
capteurs solaires. Si la surface de capteurs solaires permet de produire beaucoup plus de chaleur
que nécessaire en été, cela conduit à des surchauffes importantes dans les capteurs solaires. Ce
phénomène peut jusqu’à aller à la destruction physique de l’installation. C’est pourquoi, sur les
systèmes de chauffage solaire il est prévu une boucle de décharge pour refroidir l’installation.
Le chauffage solaire prend toute son importance dans les bâtiments très bien isolés. Sur des
bâtiments passifs, la production de chaleur à partir de capteurs solaires thermiques permet de
couvrir jusqu’à 30 % des besoins en limitant les surfaces de capteurs solaires aux besoins
maximum d’eau chaude sanitaire. Ceci évite donc les surchauffes d’été.Système de production de froid
Lorsqu’il est nécessaire de produire du froid, plusieurs types d’installations économes en énergie
peuvent être utilisés.
Refroidissement par puits canadien :
Le puits canadien, également appelé puits provençal, consiste à positionner des conduites
d’amenées d’air dans le sol. En été, l’air extérieur va se refroidir au contact des tuyaux.
L’air refroidi va ensuite être soufflé dans le bâtiment. L’abaissement de température de l’air soufflé
peut aller jusqu’à 5 voir 8°C dans les cas les plus favorables.
Dernière édition par zahira bouguerra le Ven 16 Oct - 21:22, édité 1 fois
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des
problèmes d’hygiène peuvent intervenir.
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est
l’échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est
de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du
bâtiment.Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de [size=12][size=12]rafraîchissement.[size=12][size=12]
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le
sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir
environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
[size=12][size=12]Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.[/size][/size][/size][/size][/size][/size]
[/size][/size]
problèmes d’hygiène peuvent intervenir.
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est
l’échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est
de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du
bâtiment.Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de [size=12][size=12]rafraîchissement.[size=12][size=12]
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le
sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir
environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
[size=12][size=12]Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.[/size][/size][/size][/size][/size][/size]
[/size][/size]
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
-Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).[size=12][size=12]-Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.[/size][/size]
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
-Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).[size=12][size=12]-Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.[/size][/size]
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Un certain nombre de systèmes de production de chaleur et de froid peut être mis en oeuvre dans
des projets économes en énergie.
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés.
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de
production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine
des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58
kWh d’énergie primaire.
Système de production de chaleur
Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont
particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie :
Chaudière gaz à condensation :
Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz
de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire
que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement
efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température.
Pompe à chaleur :
Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa
température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage.[size=12][size=12]L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance
d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP).
Le COP est ainsi défini de la manière suivante :
COP = chaleur produite / électricité consommée
Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé.
Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur
extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation.
Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur :
-l’air. COP : entre 2 et 3
-l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8
Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source
d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est
plus stable. Néanmoins leur surcoût est important
des projets économes en énergie.
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés.
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de
production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine
des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58
kWh d’énergie primaire.
Système de production de chaleur
Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont
particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie :
Chaudière gaz à condensation :
Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz
de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire
que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement
efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température.
Pompe à chaleur :
Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa
température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage.[size=12][size=12]L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance
d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP).
Le COP est ainsi défini de la manière suivante :
COP = chaleur produite / électricité consommée
Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé.
Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur
extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation.
Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur :
-l’air. COP : entre 2 et 3
-l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8
Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source
d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est
plus stable. Néanmoins leur surcoût est important
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Un certain nombre de systèmes de production de chaleur et de froid peut être mis en oeuvre dans
des projets économes en énergie.
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés.
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de
production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine
des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58
kWh d’énergie primaire.
Système de production de chaleur
]Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont
particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie :
Chaudière gaz à condensation :
Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz
de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire
que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement
efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température.
Pompe à chaleur :
Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa
température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage.[size=12][size=12]L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance
d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP).
Le COP est ainsi défini de la manière suivante :
COP = chaleur produite / électricité consommée
Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé.
Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur
extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation.
Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur :
-l’air. COP : entre 2 et 3
-l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8
Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source
d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est
plus stable. Néanmoins leur surcoût est important
des projets économes en énergie.
Les systèmes au meilleur rendement devront être privilégiés.
Limiter les besoins d’électricité
Il faudra veiller dans tous les cas à limiter les consommations d’électricité. Tous les systèmes de
production de chaleur à effet joule sont à proscrire. En effet, le chauffage électrique direct entraine
des consommations d’énergie primaire très importantes. 1 kWh d’électricité correspond à 2,58
kWh d’énergie primaire.
Système de production de chaleur
]Parmi les différents systèmes de production de chaleur existants, les systèmes suivants sont
particulièrement adaptés pour les bâtiments économes en énergie :
Chaudière gaz à condensation :
Ces chaudières permettent de récupérer la chaleur latente contenue dans la vapeur d’eau des gaz
de combustion. Leur rendement peut dépasser 95 % sur PCS. Pour condenser il est nécessaire
que la température de l’eau produite soit inférieure à 45°C. Ce système est donc particulièrement
efficace pour les planchers chauffants ou avec des radiateurs basse-température.
Pompe à chaleur :
Ce système consiste à valoriser une source d’énergie contenue dans la nature et à augmenter sa
température pour qu’elle soit compatible avec un système de chauffage.[size=12][size=12]L’énergie électrique est utilisée pour alimenter un compresseur. Pour caractériser la performance
d’une pompe à chaleur. On utilise le coefficient de performance (COP).
Le COP est ainsi défini de la manière suivante :
COP = chaleur produite / électricité consommée
Ainsi un COP de 3 correspond à 3 kWh de chaleur produits pour 1 kWh d’électricité consommé.
Une pompe à chaleur avec un COP de 3 permet de récupérer 2 kWh d’une source de chaleur
extérieure. Plus le COP est élevé, meilleur est la performance de l’installation.
Trois sources de chaleur peuvent être principalement utilisées pour une pompe à chaleur :
-l’air. COP : entre 2 et 3
-l’eau : entre 3,5 et 5
-le sol : entre 3,2 et 3,8
Il est préférable d’utiliser des pompes à chaleur sur forage géothermique (sol) ou sur une source
d’eau (nappe phréatique) plutôt que sur l’air extérieur car la température de la source froide est
plus stable. Néanmoins leur surcoût est important
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
]Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des problèmes d’hygiène peuvent intervenir.[/size]
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est[/size]
échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement
Refroidissement par forage géothermique
Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
]Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est[/size]
échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement
Refroidissement par forage géothermique
Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
]Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des[/size]
problèmes d’hygiène peuvent intervenir .Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est un échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement.
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
problèmes d’hygiène peuvent intervenir .Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est un échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement.
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des
problèmes d’hygiène peuvent intervenir
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est[/size]
échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’estde l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissementRefroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
problèmes d’hygiène peuvent intervenir
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est[/size]
échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’estde l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissementRefroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant
par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des problèmes d’hygiène peuvent intervenir.
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’estde l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement.
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.
Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’estde l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement.
Refroidissement par forage géothermique.[size=12][size=12]Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.
Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.
Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Plancher chauffant/rafraîchissant :
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Le chauffage et le refroidissement par le plancher est optimal avec une pompe à chaleur. Il permet
de chauffer et de rafraîchir un bâtiment avec un confort maximum. Son principal inconvénient est
son inertie. En effet, le temps de réponse d’un plancher chauffant à une modification de consigne
est de plusieurs heures. En outre, les puissances de rafraîchissement sont limitées à 30 W/m².
Plafond chauffant/rafraîchissant :
Un plafond rafraîchissant présente une puissance de rafraîchissement supérieure à un plancher,
de l’ordre de 60 à 80 W/m² en fonction de la technologie. Son inertie est plus faible.
Activation de la dalle de béton :
L’activation de la dalle de béton est un concept de chauffage et de refroidissement consistant à
intégrer des conduites d’eau dans sans la structure du bâtiment. En exploitant au mieux la masse
thermique de la structure, les variations des besoins de chaleur et de froid sont atténuées. Le
rendement est plus élevé qu’avec les systèmes conventionnels.
Dans les bâtiments à activation de la dalle de béton, les conduites raccordées à la production
centrale de chaud et froid sont intégrées dans le sol. L’eau y circule entre 16 et 26 °C. Les
problèmes d’inconfort thermique sont faibles grâce à la suppression des courants d’air.
L’activation de la dalle de béton permet aussi de déplacer la charge de refroidissement dans le
temps. La charge nécessaire le lendemain est produite la nuit et stockée dans la structure du
bâtiment. Le tarif de nuit bon marché ainsi que des températures extérieures plus faibles et un
fonctionnement à pleine charge permettent ainsi de réduire le coût énergétique des machines de
refroidissement.
En raison de son inertie, l’activation de la dalle de béton s’adapte toutefois difficilement aux locaux
à variation de charge rapide. Le système n’est pas adapté pour les salles de réunion et les
réfectoires. La stratégie de régulation d’un tel bâtiment est complexe et nécessite des
modélisations poussées.
Production d’ECS
Limiter les déperditions du système de distribution
Il est primordial de limiter les déperditions des réseaux de distribution. Les actions pour limiter les
déperditions sur les réseaux sont les suivantes :
-Renforcer l’isolation des conduites d’eau chaude et de circulation dans les gaines techniques
avec 6 cm d’isolation
-Lorsque les réseaux de distribution sont importants, il peut être intéressant d’utiliser des stations
de production de chaleur, qui permettent de produire l’ECS directement dans les logements. La
distribution de chaleur ne comprenant plus que 2 tuyaux (chauffage aller-retour) au lieu de 4 pour
un système classique (chauffage aller-retour, ECS, circulation).
Production solaire thermique
La production d’eau chaude sanitaire par des capteurs solaires thermiques est un élément
fondamental pour réaliser un bâtiment économe en énergie. Elle permet de diviser par deux les
consommations liées à l’chaude sanitaire.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des problèmes d’hygiène peuvent intervenir. Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est
de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du
bâtimentRefroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement
Refroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement. Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du
bâtimentRefroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissement
Refroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiques
verticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement. Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
Le puits canadien a un inconvénient important. En cas de mise en oeuvre défectueuse, des problèmes d’hygiène peuvent intervenir.Il existe un autre type de puits canadien qui permet de limiter les risques hygiéniques. C’est échangeur géothermique à eau glycolée. Au lieu que ce soit l’air neuf qui circule dans le sol, c’est de l’eau avec du glycol qui va y circuler dans des conduites horizontales positionnées autour du bâtiment
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissementRefroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiquesverticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Refroidissement sur la nappe phréatique :
En Alsace notamment, l’eau de la nappe phréatique peut être utilisée pour refroidir un bâtiment. La
température de l’eau est relativement constante au cours de l’année, autour de 12°C. Cette eau
peut être pompée et injectée dans un circuit de rafraîchissementRefroidissement par forage géothermique.Le refroidissement est obtenu en dissipant la chaleur du bâtiment dans des forages géothermiquesverticaux. Les forages géothermiques peuvent être directement reliés à un plancher rafraîchissant par exemple. Le refroidissement est obtenu par simple circulation d’un fluide caloporteur dans le sol. La température à la sortie des sondes est comprise entre 14 et 17 °C. Il est possible d’obtenir environ 30 W/m de sonde en puissance de rafraîchissement.Climatisation solaire
Les systèmes les plus répandus de rafraîchissement utilisant le solaire thermique peuvent être
classés en deux grandes familles :
- Les systèmes fermés : un groupe de production de froid à sorption (absorption et adsorption)
produit de l’eau glacée, utilisable aussi bien dans une centrale de traitement d’air (refroidissement,
déshumidification), que dans un réseau d’eau glacée alimentant des installations décentralisées
(ventilo-convecteurs par exemple). Les groupes de froid existants sur le marché et adaptés au
solaire sont les machines à absorption (les plus répandues) et les machines à adsorption
(quelques centaines de machines dans le monde, mais présentant un fort intérêt pour le
rafraîchissement solaire).
- Les systèmes ouverts : l’air est directement traité (refroidissement, déshumidification) en fonction
des conditions de confort souhaitées. Le «réfrigérant » est toujours de l’eau, puisqu’il est en
contact direct avec l’air à refroidir. Les systèmes les plus répandus utilisent une roue à
dessiccation rotative.Mode d’émission de chaleur et de froid
Il existe plusieurs types d’émetteurs de froid et de chaleur adaptés aux bâtiments économes en
énergie.
Air soufflé :
De manière générale, il faut éviter de chauffer ou refroidir un bâtiment avec comme source unique
l’air soufflé. Généralement les débits d’air nécessaires pour apporter la puissance thermique
nécessitent des débits d’air neuf supérieurs aux besoins d’air hygiénique. Ce qui entraine des
surconsommations par augmentation du renouvellement d’air. De plus le soufflage d’air froid ou
chaud peut entrainer un inconfort thermique important. Les bâtiments au standard passif
(passivhaus) sont les seuls où l’on peut chauffer ou refroidir un bâtiment seulement à partir de l’air
soufflé. La puissance maximale de chauffage ne doit pas dépasser 10 W/m². Pour rester dans des
conditions de confort, il vaut mieux viser 7 W/m². Généralement, il est tout de même prévu un
radiateur dans la salle de bain. Le soufflage par l’air soufflé pose également un problème de
régulation terminale. Si l’on veut pouvoir ajuster la température dans chaque local, il est
nécessaire de prévoir une batterie chaude par local, ce qui entraine un coût d’investissement
supérieur à une solution par radiateur.
Chauffage par radiateur :
C’est la solution la plus répandue et la moins coûteuse à l’investissement. Par contre, le
rafraîchissement est exclu avec cette solution. Les radiateurs doivent absolument être équipés de
robinets thermostatiques. Ces derniers présentent tout de même un écart moyen de 2°C entre la
température de consigne et la température résultante dans le local. Dans le cas de bâtiments avec
de forts apports solaires et des variations importantes des charges internes, il est préférable
d’opter pour des solutions avec thermostat d’ambiance électronique. Il existe des appareils qui
vont se placer directement sur le pointeau de la vanne du robinet thermostatique et qui permettent
un pilotage plus efficace du radiateur.
ventilo-convecteur :
Un ventilo-convecteur est un émetteur composé d’un échangeur air / eau et d’un ventilateur. Ce
dernier va permettre de brasser l’air du local à travers l’échangeur et ainsi de faire varier sa
température. Cet appareil nécessite donc des consommations électriques importantes pour le
ventilateur. Par contre, il permet de refroidir et de chauffer avec des puissances importantes. Il est
plus intéressant d’utiliser des ventilo-convecteurs plutôt qu’un système de traitement d’air soufflé
centralisé où les consommations spécifiques des ventilateurs peuvent être énormes. Par contre,
mieux vaut lui préférer un système de chauffage / rafraîchissement par rayonnement comme un
plancher rafraîchissant qui nécessite des consommations d’auxiliaires plus faibles.
Re: Optimisation des consommations des équipements de
slt je c pa cmmt ça marche, mais j'espère ke mon msg sera posté, je ss
etudiante en 5eme année architecture et g besoin de vtr aide de
m'envoyer des documentation ou des projets a propos de ce nouveau thème
et merci pr vs ts....salém-
AYA_ARCHI- Archi_violet
-
Nombre de messages : 7
Age : 37
Localisation : souk Ahras
Emploi/loisirs : etudiante
Université : badji mokhtar annaba
Réputation : 0
Points : 7
Date d'inscription : 12/11/2009
Re: Optimisation des consommations des équipements de
pardon g oublié mon thème est concernant Le Tourisme balnéaire: la cité aquatique
AYA_ARCHI- Archi_violet
-
Nombre de messages : 7
Age : 37
Localisation : souk Ahras
Emploi/loisirs : etudiante
Université : badji mokhtar annaba
Réputation : 0
Points : 7
Date d'inscription : 12/11/2009
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Dim 22 Nov - 0:31 par Blanche Marguerite
» Centre de soins pour Toxicomanes
Ven 9 Oct - 1:35 par Boulanouar Ben Atallah
» miao v10.1.8
Ven 2 Oct - 22:17 par jimmy120
» Architecture des Hôtels!!!
Mar 5 Mai - 7:59 par *JOKER*
» Aide SVP Madresa de Tlemcen
Lun 4 Mai - 0:41 par archi23
» centre d'affaire en dwg
Mer 15 Avr - 15:15 par yahiaarchi
» Musique en video
Sam 21 Mar - 22:10 par MarieMarie
» géométrie déscriptive
Lun 2 Fév - 18:54 par norinori
» art urbain
Sam 10 Jan - 17:30 par sima2014
» Un site pour sauvegarder et partager nos fichiers
Mar 30 Déc - 20:43 par MarieMarie